Jésus, Dieu créateur, la lumière du monde et la Parole. Jésus Celui dont nous devons nous souvenir, non seulement dans les jours de notre jeunesse (Ecclésiaste 12 : 1), mais chaque jour de notre vie que Dieu nous accorde. Se souvenir de Lui, l’aimer, parler avec Lui et apprendre de la Parole chaque jour en lisant la Bible. De même, en parlant avec Lui, nous recherchons sa sagesse afin d’être davantage une lumière et un « bon samaritain » pour ceux que Dieu place dans nos vies chaque jour.

Il peut y avoir des jours où nous sommes découragés comme le psalmiste, « C’est donc en vain que j’ai purifié mon cœur, Et que j’ai lavé mes mains dans l’innocence » (Psaumes 73:13). Nous pouvons perdre courage lorsque notre travail ne semble pas porter ses fruits: services inaperçus, pardon ignoré, gentillesse non reconnue, prières secrètes sans réponse, des kilomètres supplémentaires sans intérêt, le temps non rémunéré pris pour planter une graine de Sa Parole. Mais Christ nous appelle à être fidèles, pas à réussir, à Lui faire confiance pour la récolte. Laissons les sarments demeurer sur la vigne, et notre obéissance portera du fruit.

«ô mort, où est ta victoire ? ô mort, où est ton aiguillon ? » (1 Corinthiens 15:55) En tant que médecins, nous pourrions considérer la mort comme une défaite de nos compétences cliniques durement acquises. Dans le livre de la Genèse, la Bible fait le deuil de la mort. Dieu aime la vie, la qualifiant de « bonne » lors de sa création. Et le point culminant de l’œuvre de Dieu sur terre serait de restaurer la vie. Paul assure également les croyants de la résurrection corporelle des morts. (1 Corinthiens 15:1-28) Les écrits de Paul mettent en lumière l’époque où « le périssable doit se revêtir de l’impérissable, et le mortel de l’immortalité ». (1 Corinthiens 15:53) Ce genre de changement se produirait en ‘un clin d’œil’, décrivant comment les vivants seraient changés à la seconde venue de Jésus. Un commentateur appelle cela une « interruption céleste », radicalement différente du rythme généralement plus lent des changements terrestres. Qu’il s’agisse de résurrection ou de transformation, nous, les humains, ne contribuons certainement pas à ce mystère de restauration de la vie telle que Dieu l’a voulue. Nous travaillons assez dur pour retarder ou éviter la mort parce que nous aussi, nous aimons la vie. Mais souvent, les agents de santé voient des larmes lorsque la mort anéantit l’espoir. Nous pourrions nous juger nous-mêmes ou être jugés par les autres, en nous demandant : « ai-je fait assez ? » 1 Corinthiens 15:55 met en parallèle Esaïe 25:8, qui parle de la restauration d’Israël, sa nouvelle vie, libérée de la mort, par un Dieu qui « essuiera toutes les larmes. »   Le Message de 1 Corinthiens 15: 56-57 le présente comme suit: « L’aiguillon de la mort, c’est le péché; et la puissance du péché, c’est la loi. Mais grâces soient rendues à Dieu, qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus Christ! ». La résurrection de Jésus était le début de la fin de la mort, et Paul décrit la fin de la fin. Nous pouvons aimer la vie et la mort, car la mort n’est pas une défaite mais plutôt une transformation dans la victoire du Christ. Lecture complémentaire : 1 Corinthiens 15 Prière:      Seigneur, nous te glorifions, toi qui donnes la victoire! Aide les chrétiens qui travaillent dans le domaine de la santé à saisir les occasions d’apporter la guérison à la personne tout entière: corps, âme et esprit. Kris Prenger, médecin de famille, a servi au Bangladesh pendant 24 ans, maintenant dans l’Ohio, aux États-Unis

J’ai le privilège d’être en partenariat avec Dieu, qui m’a appelé à être un homme et un messager de Dieu. Je ne suis pas Dieu; Il est au contrôle et personne n’est indispensable. Au travail, j’ai été consultant ou directeur. Il est si facile de se sentir patron et maître de la situation. Dieu a dû m’enseigner à travers les échecs et les déceptions que je n’ai pas le contrôle.